Prières de rue à Clichy-la-Garenne.
Après la mobilisation d’une centaine d’élus ceints de leur écharpe tricolore le 10 novembre dernier, qui a donné lieu à quelques incidents et poussé le préfet des Hauts-de-Seine à interdire formellement les prières de rue « en raison du trouble manifeste à l’ordre public » (Présent du 18 novembre), certains, qui n’ont pas encore bien perçu la logique de conquête dans laquelle se trouve l’islam, auraient pu penser que l’affaire allait en rester là. Or il n’en est rien. Loin d’entrer dans le rang et de respecter nos lois les responsables musulmans, comme ils l’ont déjà fait pour le port du voile, les menus halal dans les cantines scolaires et autres domaines, ont lancé un nouveau défi à l’Etat français, auquel ils comptent bien infliger une nouvelle capitulation.
Une simple trêve
Les grands médias, bien sûr, objecteront que les membres de la communauté musulmane, dans « un esprit d’apaisement », ont pourtant renoncé à étaler en pleine rue leurs tapis et à écouter le muezzin à proximité de l’hôtel de ville vendredi dernier, ainsi qu’ils ont pris l’habitude de le faire depuis mars. Information d’ailleurs erronée puisque, malgré l’appel lancé par l’Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC) et la présence de nombreuses forces de l’ordre, certains étaient quand même présents…
Quoi qu’il en soit, et comme l’avaient d’ailleurs bien précisé l’UAMC, il ne s’agissait là que d’une « suspension », et non d’une annulation. Une sorte de trêve, en attendant de faire plier une fois encore les autorités. Or l’interdiction formelle de ces prières prononcée par le préfet lors d’une réunion de médiation en mairie jeudi dernier et l’invitation lancée par ce dernier aux musulmans à se rassembler dans une autre mosquée de Clichy n’ont en rien calmé l’UAMC, qui a fait savoir que les pistes évoquées étaient loin de leur convenir. « Tout cela n’est pas très concret », a en effet estimé Arié Alimi, l’avocat de l’UAMC, qui a dit attendre pour lundi « de véritables propositions ». Sans quoi, a-t-il averti, les prières de rue reprendront dès le vendredi 24.
Le couteau sous la gorge
Une façon désormais classique de mettre le couteau sous la gorge d’un Etat et de gouvernements français qui, depuis des années, n’ont pas cessé d’abdiquer devant les revendications croissantes de la communauté musulmane et permis, par leur pleutrerie, l’islamisation galopante de notre pays.
Ainsi, si le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, invité dimanche à l’émission « Questions politiques », martelait devant les journalistes qu’« il n’y aura pas de prières de rue » ou encore que « nous empêcherons les prières de rue », c’était pour s’empresser d’ajouter : « Il faut que les musulmans puissent avoir un lieu de culte pour pouvoir prier. (…) On fera en sorte que l’on résolve dans les prochaines semaines ce conflit. »
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Extrait de: Source et auteur
Demandez donc aux Pieds Noirs, ce qu’ils en pensent! Ce que nous accordons aux musulmans, ce sont pour eux des actes de faiblesse: voyez les accords d’Evian comment les insurgés les ont respectés: leur révolte, nous l’avons appelé guerre, quel honneur leur faire! Pour eux, ils nous ont battu et entendent nous imposer leur pratique, sachant que nous céderions devant leur obstination, avec la complicité doux rêveurs qui n’ont rien compris, et ne sont pas fichus d’analyser l’histoire. Ces gens la, ou ils plient ou ils dégagent: ils n’y a pas d’autres choix.
Les Autorités françaises devraient acheter en toute urgence des rouleaux compresseurs!
Jamais un musulman qui a bien compris ce que représente la prière comme pilier fondamental de sa croyance ne peut et ne doit en faire un moyen de contestation et de pression pour contrecarrer les décisions des responsables. La prière de rue ne devrait pas avoir lieu. En prenant comme point de départ la présomption d’innocence, les musulmans dont le lieu de culte a été fermé, doivent en bons citoyens, soit aller, dans la mesure du possible, à une autre mosquée, soit prier chez eux, mais en aucun cas rabaisser ce que symbolise la prière.
En s’emparent de la rue ils montrent que c’est eux qui font la loi !
ils sont un Etat dans l’Etat !
Inacceptable , on devrait les expulser , ils ne sont pas chez eux !
Dans un État digne de ce nom, les infractions à la loi seraient sévèrement réprimées, les meneurs emprisonnés et expulsés. Mais avec les panouilles macroniennes, collabos islamophiles et surtout crevant de frousse, il n’y a rien à espérer, sinon que s’organisent dans le peuple des milices pour contrer le danger.