Preuve, une fois encore, que les islamistes présents en France ne sont forts que de nos propres faiblesses, la mobilisation des élus et habitants de Clichy-la-Garenne, le 10 novembre (Présent du 14 novembre), à l’initiative du maire LR de la ville, Rémi Muzeau, aura finalement porté ses fruits : s’exprimant jeudi à l’issue d’une « réunion de concertation » avec la mairie et les associations musulmanes, le préfet des Hauts-de-Seine s’est engagé à mettre un terme aux prières de rue à Clichy « qui constituent un trouble manifeste à l’ordre public ».
Provocation islamiste
Depuis leur expulsion, en mars dernier, d’un lieu de culte au centre-ville, des centaines de musulmans se rassemblaient en effet chaque vendredi aux abords de l’hôtel de ville pour prier mais, surtout, pour montrer à la municipalité qu’ils sont « chez eux chez nous ». Une démonstration de force et une provocation inacceptables pour de nombreux habitants de Clichy, mais aussi pour le maire LR Rémi Muzeau, inquiet sans doute de l’impact de ces manifestations sur ses administrés. Aussi, vendredi 10, une centaine d’élus ceints de leur écharpe tricolore s’étaient rassemblés au moment même de ladite prière pour dénoncer cette situation. Un rassemblement qui avait donné lieu à quelques incidents entre manifestants et islamistes, vite séparés par les forces de l’ordre.
La situation avait amené le ministre de l’Intérieur à déclarer mercredi devant l’Assemblée qu’« il ne peut y avoir de prières de rue » à Clichy-la-Garenne, en soulignant cependant que les musulmans de cette ville devaient « avoir un lieu de culte décent ». Or, la mairie a bien proposé à l’Union des associations musulmanes de Clichy-la-Garenne de rejoindre une autre mosquée, sise rue des Trois-Pavillons, mais, à en croire l’UAMC, ce site serait « trop excentré, trop exigu et pas aux normes de sécurité ». Ce qui est faux puisque ladite mosquée se trouve à moins d’un quart d’heure à pied de l’ancienne, avec un arrêt du bus (gratuit) juste en face…
« Les prières de rue, c’est terminé »
Quoi qu’il en soit, la mobilisation des Clichois a eu le mérite de faire du bruit et d’attirer enfin l’attention de la préfecture des Hauts-de-Seine, où Pierre Soubelet a organisé jeudi une réunion de médiation entre la mairie et les différentes associations musulmanes de la ville. Une médiation de deux heures et demie, parfois tendue, au cours de laquelle le préfet, après avoir prévenu d’emblée que « les prières de rue, c’est terminé. Il n’y en aura pas demain, ni le vendredi d’après. Ni à Clichy, ni dans les Hauts-de-Seine », a invité les musulmans à se rendre dans la salle des Trois-Pavillons. Une décision aussitôt saluée par Rémi Muzeau, qui s’est félicité des « avancées » permises par la mobilisation des Clichois, avant de déclarer : « Je n’ai plus de prières de rue dans ma ville et ma ville va pouvoir retrouver sa sérénité ! »
En photo de tête : La résistance des élus clichois, un exemple pour les autres villes confrontées aux prières de rue.
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Extrait de: Source et auteur
quelle victoire ?
Désolé mais vous navez rien compris a la fourberie des musulmans !
S’ ils prient dans les rues c’est juste pour qu’on leur alloue a vil prix voire meme gratuitement des terrains pour y construire des centres culturels ou des mosquées, donc victoire pour les musulmans !
Il est tout de même inadmissible que l’affaire ait duré 8 mois et que les élus aient été impuissants pour faire cesser ces prières de rue illégales, au point d’être contraints à manifester eux-mêmes dans la rue. Nous sommes vraiment dans un bateau ivre, avec une justice à deux vitesses, qui interdit tous les symboles de notre civilisation chrétienne (croix, crèches) tout en tolérant (et le mot est faible) l’invasion de l’espace public par le système politico-juridico-religieux totalitaire qu’est l’islam.
C’est une bien piètre victoire et je me demande si ces prières ne vont pas reprendre, là ou ailleurs, car les islamistes ne lâcheront rien, sachant à quel point nous sommes faibles.
Bof… A voir si cette interdiction se confirme ces prochaines semaines. Quoiqu’il en soit, rien n’aurait été entrepris si cette manif d’élus n’avait pas été organisée. Donc, comment envisager cela comme une victoire ? Seuls les simples d’esprit y croiront. Les autres, non. Avec raison.
Une petite victoire, certes, mais une victoire quand même, au lieu du revers habituel.