Suisse – En 2016, il a grimpé de 5,2% par rapport à 2015. Les personnes seules et les familles monoparentales courent le plus de risque. Lausanne est cité en exemple.
Les personnes dépendant de l'aide sociale sont toujours plus nombreuses en Suisse. [...], le nombre de dossiers étudiés a augmenté de 5,2% en 2016, alors que les années précédentes, cette augmentation était inférieure à 3%, [...]
Ce taux a été mesuré dans 14 villes du pays, dont Lausanne et Bienne, qui regroupent à elles seules 26% des bénéficaires de l'aide sociale inscrits en Suisse. Pratiquement toutes les villes enregistrent une hausse [...] Explication: le franc fort, qui se répercute sur le marché du travail.
[...] D'une part, la population résidente a augmenté dans les villes. D'autre part, le chômage et le taux de chômeurs en fin de droit sont en hausse [...] Enfin, les emplois pour les personnes peu qualifiées diminuent de plus en plus.
Personnes seules et familles monoparentales
[...] 70% des cas, ce sont les personnes seules qui sont les plus touchées, selon l'étude. Les familles monoparentales viennent en 2e position et représentent entre 15 et 21,5% des cas. Le risque d'être assisté est aussi «maximal» pour les hommes divorcés vivant seuls: environ 20% de ces ménages bénéficient de l'aide sociale.
[...]..., pour les mères de moins de 25 ans qui élèvent seules leur enfant. Dans cette catégorie, elles sont en effet plus de 80% à dépendre de l'aide sociale.
Étrangers non-européens
Le risque de dépendre de l'aide sociale augmente aussi pour la population étrangère et de plus en plus de ressortissants de pays hors de l'Europe doivent y avoir recours. [...] Les villes de Lausanne, Bienne, Bâle et Schlieren (ZH) font exception avec une part de personnes étrangères à l'aide sociale supérieure à 50%.
La durée d'assistance s'est prolongée
[...] Chaque année, si les villes enregistrent en moyenne 25 à 30% de nouveaux dossiers, environ un quart d'entre eux peuvent être bouclés tous les ans.
[...] la durée moyenne d’assistance dans les 14 villes mesurées est en effet de 3,5 ans. Une moyenne qui s'est prolongée de 6 mois par rapport à 2010. Ce sont surtout les plus de 50 ans et les personnes peu qualifiées que l'on retrouve dans cette catégorie [...]
[...] Les prestations complémentaires pour familles se révèlent aussi un instrument efficace pour lutter contre la précarité. C'est le cas de Lausanne qui compte moins de familles à l'aide sociale grâce à ce type de soutien (*).
L'exemple de Lausanne
[...] Lausanne, qui cumule pourtant les risques influant le taux de l'aide sociale, a réussi à réduire (*) considérablement le taux d'aide sociale depuis 2012.
Ceci grâce à l'introduction récente de certaines prestations dans le canton, telles que les prestations complémentaires pour familles, les rentes-pont pour les femmes dès 62 ans et les hommes dès 63 ans, ainsi que des mesures de formation pour les 18-25 ans sans formation achevée. A ceci s'ajoute quelque 8000 logements subventionnés, soit le 11% du parc immobilier de la ville, a expliqué Oscar Tosato, municipal lausannois et vice-président de l'initiative des villes.
[...] essentiel d'engager des mesures d’intégration dans le domaine de l’asile le plus rapidement possible. [...]
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Voir aussi :
https://www.laliberte.ch/news/suisse/les-jeunes-parents-a-la-peine-414992
https://www.24heures.ch/news/standard/augmentation-nombre-beneficiaires-aide-sociale/story/20089325
2010 = https://www.rts.ch/info/suisse/1142346-aide-sociale-davantage-de-beneficiaires.html
https://www.lematin.ch/suisse/toujours-citadins-aide-sociale-lausanne-bienne/story/14571531
https://www.24heures.ch/suisse/taux-aide-sociale-change-10-ans/story/17273620
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(*) Cenator : Lausanne, qui avait un taux d’assistés de 10,2% en 2014 (source), a passé dans ses statistiques à 8,8% pour 2016 (source > cliquer Graphiques).
Comment arrive-t-on à une baisse aussi magique tout en augmentant considérablement les dépenses du social chaque année ?
Eh bien, tout d’abord, avec la créativité des socialistes, qui ont l’art de rebaptiser chaque chose pour nous faire voir la réalité autrement qu’elle n’est.
Ah, comme disait Alfred Sauvy, « Les chiffres sont des êtres fragiles qui, à force d'être torturés, finissent par avouer tout ce qu'on veut leur faire dire. »
Par exemple, les « prestations complémentaires pour familles », qui signifient que le complément de salaire arrive automatiquement sur le compte des bénéficiaires selon les barèmes de l’aide sociale.
Les rentes-pont, pour les femmes dès 62 ans et les hommes dès 63 ans, ainsi que des mesures de formation pour les 18-25 ans sans formation achevée, sortent également des statistiques de l’aide sociale.
« A ceci s'ajoute quelque 8000 logements subventionnés, soit le 11% du parc immobilier de la ville.» Nous ignorons ce que cela signifie en chiffres absolus, mais nous savons qu’il y a des milliers de fausses familles monoparentales qui disposent de logements subventionnés et vivent en couple sans que le revenu du conjoint ne s’ajoute, et aussi des milliers de bénéficiaires des prestations complémentaires qui vivent à l’étranger la majorité de l’année (dans des biens immobiliers non déclarés en Suisse), mais reviennent de temps en temps pour des soins médicaux gratuits et pour toucher les prestations diverses.
Aucun contrôle, et ceci est connu depuis 40 ans...
Ce que l’article ne mentionne pas, c’est la masse des personnes qui ne paient pas du tout ou seulement partiellement leur assurance-maladie, et c’est la classe moyenne qui passe à la caisse pour eux.
A noter également que l’aide sociale à Lausanne est un dû, non remboursable. Il y a un nombre incalculable de personnes qui décident de se mettre à l’aide sociale, une fois qu’ils ont obtenu le permis désiré ou la naturalisation. En plus, la politique de regroupement familial, avec les membres en ligne directe et latérale, amène une population âgée et en mauvaise santé extrêmement coûteuse.
Le système social en Suisse était conçu pour une population qui considérait l’aide sociale comme une possibilité de dernier recours, une population où l’analphabétisme n’existait plus et qui, à l’âge adulte, allait travailler pour s’assumer financièrement et cotiser pour ses vieux jours.
Les socialistes ont pratiqué le dumping d’immigration durant plus de 40 ans, en faisant entretenir par les contribuables les immigrés sans qualification venus des quatre coins de l’Europe, puis les « réfugiés » venus des quatre coins du monde, de préférence illettrés, avec une mentalité et une religion incompatibles avec nos valeurs. L’aide sociale offre à cette population une vie si agréable que toute velléité d’insertion devient illusoire. Ce qui n’empêche pas nos édiles de financer des centaines d’associations et des services de l’Etat, à coups de millions, pour donner l’illusion de les intégrer.
La logique de l’Etat providence des gauchistes nous amènera immanquablement à l’effondrement total de notre système social, à la ruine pour des générations et des générations à venir. Je n’ose imaginer la réaction des masses d’assistés extra-européens en cas d’effondrement, eux qui sont habitués à recevoir l’argent sans rien faire. Nul ne peut en prévoir les conséquences mais cela arrivera, c’est certain.
Cela fait 50 ans que les votants en Suisse refusent régulièrement une limitation de l’immigration (A l’exception du 9 février 2014, vote non-appliqué parce que c’est trop tard, trop d’intérêts financiers immédiats étant en jeu, le système étant rongé jusqu’à la moelle). Ils ont accepté la libre-circulation. Ils ont accepté l’entrée dans l’ONU. On en voit aujourd’hui les conséquences funestes, mortelles pour les autochtones.
On devrait payer l’aide sociale en proportion des années travaillées en Suisse, et rien avant au moins 10 ans, et 10 ans pour le minimum !
On verrait vite partir les parasites….
PS: Quand je dis « Plus rien dès la quatrième année », on pourrait remplacer par « Un billet d’avion et une escorte policière au début de la quatrième année »
Je donne un tuyau aux députés anesthésiés :
L’aide sociale pour les envahisseurs doit être dégressive !
– moins 20% la seconde année
– moins 50% la troisième année
– plus RIEN dès la quatrième année.
Ces réductions doivent tout inclure (argent donné, cours payés, logement offert, etc, etc)
Merci d’avance de concocter RAPIDEMENT une loi dans ce sens.
Je me souviens qu’il y a quelques années, j’attendais mon bus à je ne sais plus quel arrêt à Lausanne.
A côté de moi, deux noires, vêtues de boubous colorés et smartphone en main, glapissaient dans un sabir incompréhensible , un idiome du Cameroun, peut-être.
Le seul terme de la langue de Molière que j’ai saisi était » aide sociale ».
Et cela sur le ton assuré de celles qui considèrent que tout leur était dû.
Cela continuera jusque au jour où les classes moyennes blanches auront fini d’être lessivées.
Et là, on pourra passer aux choses sérieuses.
On devient vite beaucoup plus efficace et déterminé,
une fois que l’on n’a plus rien à perdre…
L’iceberg est en vue, plus possible de manoeuvrer pour l’éviter, quelques membres d’équipages avaient alerté le capitaine sans succès, celui-ci admire les étoiles et boit un verre avec ses seconds et les plaisanciers sont en train de gueuletonner dans l’insouciance…… mayday… mayday….mayday..
L’école Lémania dispense des cours privés de français très couteux mais payés par le contribuable aux étrangers dont certains sont là depuis plus de 15 ans et ne parlent toujours pas français…A qui veut-on faire croire que ces gens vont participer à la société?! ça doit cesser…les gens incapable d’intégration doivent être privés d’aides et renvoyés!