Le réseau Soros a une vaste sphère d’influence à Bruxelles

NDLR. Nous avons déjà souligné à plusieurs reprises la présence de l’ancienne Conseillère fédérale socialiste et présidente de la Confédération Micheline Calmy-Rey dans le conseil d’administration de la Open Society Foundation de ce sinistre et malfaisant milliardaire, Georges Soros, qui soutient le multiculturalisme, le communautarisme, les migrations de masse et la destruction des nations et de nos valeurs civilisationnelles fondatrices.

Vendredi 26 octobre, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a donné une interview à l'émission "180 Minutes" de Kossuth Radio.

Au sujet des documents fuités concernant "l'Empire Soros" :

Viktor Orbán : Le "réseau Soros" a une vaste sphère d'influence au Parlement européen et dans d'autres institutions de l'Union européenne. L’objectif de ce réseau est de créer une Europe métissée et de condamner le gouvernement hongrois, qui s'oppose à lui sur la question des migrants.

Ces documents montrent que les membres du réseau Soros sont actifs à Bruxelles, cherchant à "condamner et stigmatiser le gouvernement hongrois, dont la position sur la question de l'immigration est opposée à la leur, et à forcer la Hongrie à changer sa politique migratoire".

Avec la participation des services de sécurité nationaux, le public hongrois doit être informé sur le "réseau Soros", qui tente d'influencer la vie en Europe. Ces révélations lui permettraient de savoir ce qui se passe réellement, qui cherche à influencer sa vie, pourquoi et comment il le fait. Il importe également d'identifier les Hongrois qui, opérant à partir de la Hongrie, sont prêts à coopérer avec le réseau.

Journaliste : Le commissaire européen hongrois Tibor Navracsics a déclaré qu'il n'y avait pas de "plan Soros" et vous a demandé qui collabore avec le réseau.

Viktor Orbán : Vous voyez, il ne le sait même pas. Raison de plus pour chercher à le savoir.

Les documents publiés récemment montrent que "l'Empire Soros  a une liste de plus de deux cents députés européens qu’il considère comme des amis.

Ils recherchent également des députés européens prêts à collaborer à un plan pour une Europe métissée. Plusieurs de ces personnes – dont des Hongrois – siègent à la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen (LIBE) – c'est l'organe qui a récemment rédigé la proposition du Parlement européen nécessaire pour créer une Europe mixte.

Au vu des documents qui ont été divulgués, les organisations Soros sont également mobilisées pour discréditer les politiciens hongrois.

Concernant le sommet européen de la semaine dernière à Bruxelles :

Pendant un an ou dix-huit mois, je me suis efforcé de faire en sorte qu'à la fin des réunions des Premiers ministres, aucun document ne soit adopté sur la future politique d'asile de l'Europe qui contienne des éléments pouvant violer la souveraineté hongroise. Il y a une pression énorme sur moi pour que j’accepte un compromis sur la question des migrants et consente aux quotas obligatoires. J’ai toutefois rejeté ces tentatives et il a été convenu que l’on se pencherait à nouveau sur ces questions en décembre et au premier semestre 2018.

Entre-temps, cependant, "il y a un bruissement dans les buissons", comme l'a fait remarquer le LIBE, qui a déjà rédigé les bases sur lesquelles il cherchera à construire une politique européenne de l'immigration.

La position hongroise est que seul un État peut avoir le droit de décider qui vit sur son territoire. Si un pays n'a plus cette autorité, c'est fini. Si, à un moment donné, nous arrivons à un stade où les gens de Berlin ou de Bruxelles ont l'autorité de nous dire qui peut vivre sur le territoire hongrois, cela signifierait que nous sommes devenus des sujets de Berlin ou de Bruxelles. Et cela est inacceptable, car une fois qu'une brèche est ouverte dans le mur, l'eau va s'infiltrer.

Il y a deux groupes de pays dans l'UE: l'un forme la "zone exempte de migrants" d'Europe centrale, l'autre est le groupe des pays d'immigration. Il est inconcevable qu'un groupe impose ses idées à l'autre, et la question est donc de savoir comment les deux groupes devront vivre côte à côte.

Sur la consultation nationale en cours en Hongrie :

Cette consultation est importante, car elle permet aux gens d'exprimer leurs opinions, et signifie que nous les Hongrois pouvons tous, lentement mais sûrement, trouver un dénominateur commun, et une fois que nous l'aurons trouvé, nous pourrons peut-être faire valoir nos intérêt.

Sur la rencontre de la semaine dernière entre Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, et les dirigeants de du groupe de Visegrád :

L'atmosphère à Bruxelles a une fort relent de la culture quelque peu élitiste des gouvernements et des cours royales d’autrefois.

Le V4 est en parfait accord sur toutes les questions à l'ordre du jour, la question des migrants étant le sujet le plus médiatisé. Jean-Claude Juncker trouve parfois injuste que Bruxelles soit blâmée même pour des choses dont elle n'est pas responsable. Il a demandé la coopération, j’ai répondu que nous aimerions plus de respect.

Sur la question des travailleurs détachés :

J’ai reçu l'autre jour un appel du président français Emmanuel Macron, à qui j’avais demandé une garantie pour les transporteurs d'Europe centrale. En effet, si nous ne sommes pas prudents, nos transporteurs se trouveront désavantagés en concurrence avec les entreprises de transport d'Europe occidentale. Ces garanties n'ont pas été accordées, c'est pourquoi nous devons protéger les intérêts des transporteurs hongrois.

Au sujet des élections tchèques et autrichiennes :

Les électeurs de ces pays ont donné des mandats à des personnes qui sont très similaires aux dirigeants actuels du V4, et qui chantent la même partition sur la question de l'immigration. Les pays qui rejettent la migration ont donc été renforcés par les résultats de ces élections.

Sur la Slovaquie :

C’est le seul membre du groupe V4 dans la zone euro. Si l’on considère celle-ci comme le "noyau" de l'UE, la Slovaquie en fait indubitablement partie et adopte ses politiques en conséquence.

Traduction libre Deepl et Cenator pour LesObservateurs.ch

Source : communiqué de presse officiel en anglais

Interview originale : A “Soros-hálózatnak” kiterjedt befolyási övezete van Brüsszelben

5 commentaires

  1. Posté par miranda le

    Je suis assez fidèle aux articles écrits sur les observateurs.ch au sujet de la pieuvre SOROS. Je pense que notre seule force et notre devoir, c’est de distribuer (selon ses moyens financiers) une ou plusieurs copies du plan KALERGI dans son entourage ainsi qu’un ou quelques articles sur SOROS afin que les gens comprennent bien ce qui se passe.

    Evidemment avec l’ambiance BIEN PENSANTE qui règne en Europe, il vaut mieux ne pas distribuer directement ces documents de la main à la main. Car nous serons évidemment perçus comme des complotistes et recevrons, comme je l’ai vécu, « des insultes, des critiques ou des hurlements. (les hurlements croyez-moi, ça fait mal aux oreilles et … au coeur)

    DONC DEPOSONS LES DOCUMENTS DANS LES BOITES AUX LETTRES.
    En page d’introduction, écrire : VOUS AVEZ LE DROIT DE SAVOIR COMMENT S’ORGANISE LA DISPARITION DE VOTRE CULTURE.

    Et puis, tout à fait par hasard, pour engager la conversation sur le sujet dire à ses amies ou collègues : c’est étrange, j’ai trouvé dans ma boîte des documents qui m’intriguent, qui parlent de l’avenir de l’Europe et d’un plan mondialiste de destruction des cultures.
    Il est possible que votre interlocuteur réponde : « moi aussi ». Et la conversation peut lentement et TRES prudemment s’engager. Ne pas brusquer pour ne pas braquer. Et proposer peut-être d’analyser le document ensemble parce que, direz-vous, c’est mieux de se poser les questions ensemble car ça a l’air d’être sérieux et il est quand-même question de notre avenir.

    Merci de ne pas me percevoir comme « un professeur » en communication. Je fais ce que je peux pour stimuler afin que « la réalité soit diffusée » vers des gens qui ne consulteront jamais les journaux RESISTANTS du Web.Et ils sont nombreux.

  2. Posté par Damien Francois le

    La vision de l’humain (human.2) qu’a Soros, la voici: des masses d’imbécile rivés sur leur I-machin-truc, qui forment une soit-disant « communaute planétaire selon leurs besoins ». En voit déjà des millions d’humains.2 sorosiens un peu partout…
    «  »The encumbered individual. Enlightenment values can be made relevant to the present day by replacing reason with fallibility and substituting the individual for the unemcumbered individual of the Enlightenment philosophers. By encumbered individuals, I mean individuals in need of society, individuals who cannot exist in splendid isolation yet are deprived of the sense of belonging that was so much a part of people’s lives at the times of the Enlightenment that they were not even aware of it. The thinking of encumbered individuals is formed by their social setting, their family and other ties, the culture in which they are reared. They do not occupy a timeless, perspectiveless position. They are not endowed with perfect knowledge and they are not devoid of self-interest. They are ready to fight for survival but they are not self-contained; however well they compete they will not survive because they are not immortal. They need to belong to something bigger and more enduring, although, being fallible, they may not recognize that need. In other words, they are real people, thinking agnts whose thinking is fallible, not personifications of abstract reason. In putting forward the idea of the encumbered individual, I am, of course, engaging in the same kind of abstract thinking as the the Enlightenment philosophers. I am proposing another abstraction based on our experience with their formulation. Reality is always more complicated than our interpretation. The range of people living in the world can vary from those who are not far removed from the Enlightenment ideal to those who barely act as individuals, with the distribution curve heavily skewed toward the latter. The point I want to make is that a global society could never satisfy encumbered individuals’ needs to belong. It could never become a community. It is just too big and variegated for that, with too many different cultures and traditions. Those who want to belong to a community must look for it elsewhere. A global society must always remain something abstract, a universal idea » ( The Crisis of Global Capitalism. Open Society Endangered, 1998, London: Little, Brown anc Company, p. 92-93).

  3. Posté par Le Taz le

    Ce que dit Orban correspond à ce que j’ai découvert au fil du temps depuis une dizaine d’années et tout cela ressemble étonnamment aux écrits de Coudenhove-Kalergi dans Praktischer Idealismus et Pan Europea que je ne cesse de vous encourager à lire (désolé pour ceux qui l’ont fait). A partir de là, il semble évident que la mafia mondialiste organise le grand remplacement, au niveau de la logistique, au niveau des décisions politiques et au niveau de la propagande médiatique.

    MOUTONS RÉVEILLEZ-VOUS!!!

  4. Posté par Maurice le

    Les islamistes installés dans des pays qui ne sont pas les leurs, et même les ressortissants de ces mêmes pays, constituent, à l’instar des francs-maçons, un Etat dans l’Etat. Ils obéiront donc toujours aux ordres de leurs supérieurs, qu’il s’agisse d’un Etat islamiste ou d’un Grand-Orient, et agiront aux dépens du pays dans lequel ils campent, voire contre ce même pays, qu’ils vampirisent sans état d’âme.
    George Soros, lui, est un Etat à lui tout seul, et comme il veut rester tout seul dans son propre Etat mondialiste, il utilise ses réseaux d’O.N.G. pour saper les autres Etats, particulièrement ceux qui s’occupent de conserver leur liberté et de protéger leurs citoyens.

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