La Commission européenne a adressé mercredi un « avis motivé » à la Hongrie, deuxième étape de la procédure d’infraction ouverte par Bruxelles contre la loi imposant des obligations spécifiques à certaines ONG et qui vise, selon les critiques, le financier américain d’origine hongroise George Soros.
« Après avoir examiné attentivement les explications avancées par la Hongrie, la Commission européenne conclut que le pays n’a pas répondu à ses profondes préoccupations », explique dans un communiqué l’exécutif européen qui donne maintenant un mois à Budapest pour se mettre en conformité avec le droit de l’Union européenne.
Si la réponse n’était toujours pas satisfaisante, la Commission prévient qu’elle pourrait décider de saisir la Cour de justice de l’UE, lançant une procédure qui peut aboutir à des sanctions financières.
La procédure d’infraction avait été lancée à la mi-juillet, quand Bruxelles avait envoyé une lettre de mise en demeure au gouvernement hongrois.
La Commission estime que la Hongrie a « manqué aux obligations qui lui incombent » en lien avec la libre circulation des capitaux, car la nouvelle loi entraîne selon elle « une discrimination indirecte à l’égard des dons aux organisations de la société civile provenant de l’étranger et restreignent ceux-ci de manière disproportionnée ».
L’exécutif européen, garant des traités, « est également d’avis que la Hongrie viole le droit à la liberté d’association et le droit à la protection de la vie privée et des données à caractère personnel ».
La nouvelle législation impose à certaines catégories d’ONG, bénéficiant de plus de 7,2 millions de forints (environ 24.000 euros) de financements étrangers par an, de s’enregistrer en tant qu' »organisations bénéficiant d’un soutien de l’étranger » et de se présenter comme telles dans tous les ouvrages et produits de presse qu’elles publient ainsi que sur leur site internet.
Elles doivent aussi fournir aux autorités hongroises des informations spécifiques sur le financement qu’elles perçoivent de l’étranger.
Si elles ne respectent pas ces obligations de déclaration et de transparence, elles s’exposent à des sanctions.
Budapest argue de son côté que cette loi a pour objectif d’améliorer la « transparence » et de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Le milliardaire George Soros a créé en 1984 la fondation OSF (Open society Foundations), ONG très active dans les pays de l’ancien bloc communiste où elle milite en faveur de réformes libérales et promeut le droit des minorités et la lutte contre la corruption. Ses détracteurs l’accusent d’ingérence politique.
Soros ?
pas encore crevé cette raclure ?
Je ne suis pas un inconditionnel de M. Orban, mais là, je pense que le gouvernement hongrois a raison de «serrer la vis» à Soros-la-Momie et à son ONG : il suffit de voir ce qui s’est passé en Georgie, en Ukraine… et en Serbie (essai non transformé) «grâce» à cette ONG (j’ai failli écrire « OGM »).
Et si pour répondre la HONGRIE pays souverain venait à quitter l’ue.
Quelle claque pour ce truc européen que je considère comme illégal au vu du résultat du référendum.
Monsieur Victor ORBAN je suis de tout coeur avec vous.
Battons nous,nous gagnerons.
C’est quoi ce deux poids deux mesures typiquement européen ? Toutes les entreprises, tous les citoyens en Europe, Suisse comprise, doivent se plier à la transparence totale imposée par l’UE, l’OCDE, le GAFI, Fatca, etc. Et les ONG, elles, on devrait les « laisser tranquilles ». Mais pourquoi ? Qu’ont-elles à cacher ?
Menaces, intimidations, pressions, avertissements, chantage, sanctions….la commission européenne présidée par l’alcoolique juncker, l’homme qui s’entretient avec les dirigeants des autres planètes, ne sait faire que ça. Je rêve qu’un « déséquilibré » appuie un jour par mégarde sur un bouton rouge qui ferait partir deux missiles genre » mère de toutes les bombes », l’un sur le bâtiment berlaymont de brussels, et l’autre sur le bundestag, tout en chantant tel Néron devant Rome en flammes » Boum, le monde entier fait Boum »…!
Quant au vieux coprophage de soros, qu’il sache que le trépassé et peu regretté bergé, commence à s’impatienter chez Lucifer de ne le voir arriver près de lui.
En résumé elles doivent:
– S’enregistrer
– Annoncer qu’elles bénéficient d’un soutien de l’étranger
– Donner des infos sur leurs financements étrangers au gouvernement
Franchement quoi de plus normal?
Ou alors cela veut dire qu’elles ont des intentions cachées, comme par exemple, des « printemps démocratiques » au service de…
Pourriture d’UE!
É Viva la Revolutione, à bas les Baillis et sa cohorte de Banksters corrompus!
Pour une Europe OUI, mais une Europe des Nations Souveraines en leurs territoires!
Une Europe Unie dans l’adversité. Une Europe d’entraide.
Une Europe fière et riche de ses origines, de ses cultures, de ses traditions.
Une EUROPE LIBRE!
Pouvait-on attendre autre chose de la part d’un J-C J. ?
Maintenant qu’il va recevoir le renfort de Mme Milquet, ça ira de mal en pis.
L’UE commence a dégouter beaucoup de monde ….ce qui au départ devait etre une europe des pays europeens unis est devenue une UE des banqsters réunis !!! la catalogne demain sera indépendante (comme le kosovo) et l’UE malgré ses chantages au fric n’y pourra rien . L’UE va se débattre au milieu de problemes que ses magouilles ont provoqué . Pour infos la PAC pour 80% de ses crédits sont distribués a 20% des agriculteurs (et on s’étonne que les villages se désertifient)
http://www.observatoiredesgaspillages.com/2010/04/le-prince-albert-de-monaco-touche-253-986-euros-de-subvention-de-bruxelles/
http://www.ladepeche.fr/article/2009/04/30/600229-reine-angleterre-recu-500-000-euros-subventions-agricoles-2008.html
Ben… Nous le savions déjà ! Les européâstres et la limace Soros, même combat.
Il importe de mener la vie dure à toutes les officines fascistes baptisées « ong » gravitant autour de l’ « open society » de l’infâme milliardaire corrompu. Par tous les moyens : on nous fait la guerre, répondons par la guerre