Longtemps réservée aux catholiques traditionalistes, qui rejettent tout ou partie du concile Vatican II (1962-1965), la «forme extraordinaire du rite romain» dans laquelle la messe est principalement dite en latin semble revenir à la mode chez les catholiques de France. 230 paroisses, sans compter celle de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (FSSPX), toujours séparée du Saint-Siège, proposent aujourd'hui régulièrement ce type de célébration, très différente des messes classiques en français. Un chiffre qui reste toutefois bas par rapport aux 13 000 paroisses que compte la France, mais qui a quasiment doublé en dix ans.
Banni par le pape Paul VI dans la foulée du concile Vatican II, l'usage du missel (livre de messe) ancien, en latin, a ensuite été à peine toléré. Jusqu'à ce que Jean Paul II, voulant ramener dans le giron romain les traditionalistes, demande en 1988 aux évêques d'accorder plus largement la possibilité de célébrer la messe en latin. En 2007, Benoît XVI a permis à chaque curé de la faire dire dans sa paroisse, ce qui a permis un développement plus large de cet usage.
Poursuivant un objectif de réconciliation entre le Vatican et le courant traditionaliste, le pape avait par ailleurs levé en 2009 l'excommunication prononcée en 1988 contre les évêques de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X Bernard Fellay, Alfonso de Galaretta, Bernard Tissier de Mallerais et Richard Williamson. Le pape François a poursuivi cette politique d'ouverture en reconnaissant le 4 avril 2017 comme valides et licites les mariages religieux prononcés par les prêtres de la FSSPX. Il avait auparavant accordé à tous les prêtres de la fraternité les pouvoirs de confesser les fidèles, de manière à assurer la «validité» du sacrement et à ne pas «laisser les personnes dans le doute».
Ce rite ancien semble rencontrer un certain succès, notamment auprès des jeunes prêtres. 20% des séminaristes français sont aujourd'hui formés selon le missel ancien.
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Extrait de: Source et auteur
Il est certain que ça fait le beurre des fanatiques catholiques, raison pour laquelle le pape pédophile accueille avec félicité tous ces jeunes migrants souvent ouvert à la prostitution masculine !
Une citation, tirée d’une channson de Brassens : »Sans le latin, sans le latin, la messe nous emmerde.. » Puis, j’ai développé, sans aucune agressivité, pour terminer par la joie d’entendre enfin ces merveilleuses paroles: « Ite, Misa est » , auxquelles on répondait par: « Deo gracias »
Le pape, ayant appris la manière erronée de penser des anciens latins et des anciens grecs, raisonne totalement faux et ne se rend même pas compte que Mahomet est AntiChrist premier et qu’Allah est tout simplement Satan essayant de se faire passer pour Dieu le père!
Satan est unique, menteur, esclavagiste, intolérant, noir, haineux, exactement comme Allah.
Dieu est triple, honnête, libérateur, tolérant, blanc, amour, soit tout le contraire d’Allah.
Mahomet est assassin, voleur, violeur de femmes, gamines, gamins, cadavres, animaux, etc.
Dieu est scientifiquement parlant le hasard qui fait bien les choses, et Allah est scientifiquement parlant le hasard qui fait mal les choses. Dieu a créé l’homme en 4 milliards d’années, et le résultat est fantastique. Allah a créé Mahomet, le terroriste criminel ayant, par ses mensonges, provoqué l’assassinat de « 669 millions non-muslims » (Googlez!)
Le pape Bergoglio a dit quelque chose comme « le rite nouveau est définitif ». Et il y en a qui veulent que le contrarier.
Contemplé depuis mon incroyance, le concile « œcuménique » de Vatican II a marqué le début de la fin du christianisme. Le latin avait enlevé la succession du grec dans la liturgie après la réussite de la dictature romaine en occident, mais (ce me semble) servit longtemps de ciment au rite et au mythe. Peu importait qu’il ne fût pas compris par les ouailles : on répétait les paroles en psalmodiant, et ça allait tout bien. Et même les gens de tradition linguistique dérivée du latin arrivaient à comprendre plus ou moins ce qu’ils ronronnaient. Mais « comprendre » n’a pas de sens en matière religieuse, la croyance s’oppose à la logique, malgré Thomas d’Aquin. Alors, évidemment, la messe en langue vulgaire, ça n’avait plus de sens « sacré ». Si de surcroît au dogme se mêlaient des idées marxisantes, le déluge menaçait l’église.
L’ennemi civilisationnel, lui, ne s’est pas avisé de commettre une telle erreur, il a déclaré l’arabe coranique langue divine et oblige ses esclaves intellectuels à romlommer sourates et salates dans cette langue rocailleuse et à pratiquer la méthode globale pour apprendre à la lire (il faut avoir vu fonctionner une école coranique pour s’en rendre compte !). Eh bien, la religion du chamelier infernal se porte bien !
Par conséquent, même si cela ne me regarde pas, je trouve qu’il est, sinon logique, du moins culturellement cohérent que des chrétiens écoutent la messe en latin. Moi aussi, j’aime le latin… mais celui du De Natura Rerum de Lucrèce !