Les LGBT s’attaquent à la langue: Pronoms neutres et pronoms genrés

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"En cas d'incertitude quant au pronom d'une personne, observez ce que disent les autres.

Si vous craignez que les autres n'utilisent pas le prénom adéquat, demandez poliment et en privé à la personne concernée quel prénom utiliser."

Voici les nouveaux pronoms que cette minorité veut nous imposer: 'ol', 'lo', 'ul', 'iel', 'lu', 'li'...

Et tout cela sans aucune considération pour la majorité.

 

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Nos remerciements à Λlex Λ

24 commentaires

  1. Posté par un.e non-binaire le

    Pour ceux qui nous insultent dans les commentaires, pas la peine de venir nous parler si vous compter nous dire ça. On ne vous oblige à rien et on ne vous agresse pas merci de pas le faire en retour

  2. Posté par Gabriel le

    ok boomer

  3. Posté par Charles Alexis le

    Je ne voudrais pas rajouter une couche à un dossier déjà bien trop épais, mais il faudra tout de même que les con.ne.cep.teur.trice.s m’expliquent pourquoi ils.elles.ielles ne remettent pas (encore) en question.ne le.la.lo masculinité.e et le.la.lo féminité.e de certain.e.s mot.te.s, qu’ils.elles.ielles genrent à longueur.e de phras.e.s, à savoir.e :
    – LE genre … et pas LA genre, voir.e LO genr.e ?
    – LA personne binaire, et pas LE personnage binaire, voir.e LO person.ne binair.e ?
    Pas obligé.e de me répondre encore ce.tte soir.ée !
    C’est tout pour aujourd’hui ! Je prends ma tisane pour les nerfs et vais m’allonger.

  4. Posté par Alasan le

    Et pendant ce temps, on trucide les gays par centaines en Tchétchénie et partout ailleurs … c’est vrai que les pronoms genrés sont le combat à mener.

  5. Posté par Dragosh le

    @Camille , je suis entièrement d’accord. Et je suis prêt à mettre ma main à couper que la majorité des commentaires précédents viennent d’adultes, dans la quarantaine ou pas loin au moins. En restant constamment dans le passé, ils nous ralentissent et nous tirent en arrière, effrayés par les changements et l’avancé que les jeunes de notre société essayent de faire. Alors restez dans vos règles et vos lois dépassées, gardez votre système datant d’une époque révolue, et laissez-nous avancer vers l’avenir. Ciao les vieux, faites place aux jeunes !!!

  6. Posté par Camille le

    Je suis consternée, et pour être honnête choquée. Je suis nouvelle dans la communauté Lgbt et en me renseignant je pensais trouver des gens curieux mais pourtant, il ne me semble y avoir ici que des gens venus simplement pour se moquer de gens différents que vous ne comprennez pas et que visiblement vous ne cherchez pas à comprendre . Je n’ai effectivement pas une connaissance approfondie de la langue. C’est vrai et je le regrette, mais qu’importe. Elle est vivante, et une langue vivante ne doit pas stagner . Elle reflète aussi notre monde et aujourd’hui chercher son identité aussi avec son genre est quelques chose d’important . Si certaines personne se sentent mal avec des pronoms et bien pourquoi ne pas essayer de changer et de convenir à tout le monde ? Est ce que cela vous dérangerais vraiment que de nouveaux pronoms soient introduis ? Que vous soyez sceptique je comprends . C’est normal lorsque quelque chose est nouveau ou même simplement différent . Mais de là à mépriser les non-binaires ou les autres genres….je trouve ça pathétique, gratuit et stupide. Oui il y a des incohérence avec le T qui est venu se glisser dans lbgt . Et oui les pronoms ne sont pas encore parfaitement adaptés à la langue française . Mais les gens ancrés dans le passé ne feront jamais avancer les choses.

  7. Posté par François le

    Je suis homosexuel et je ne comprends absolument pas cette « Communauté »…déjà parler de communauté est une ineptie!

  8. Posté par leone le

    @Panache l’Ecureuil
    Je serais bien en mal de vous contredire toujours est-il que ces idiots inutiles vont nous pourrir la vie, nous coûter cher et s’insinuer dans l’enseignement pour introduire leurs débilités dans la tête de nos petits enfants. En ce qui me concerne petits-enfants. Et ce ne sont pas nos gauchistes d’enseignants qui vont leur barrer le chemin.

  9. Posté par Panache l'Écureuil le

    Ces gens, même s’ils se revendiquent LGBT, ont tout faux. Ils ne comprennent absolument rien au fonctionnement d’une langue, confondent genre grammatical et sexe biologique, et n’ont apparemment jamais opéré d’études comparatives des langues. En réalité, je les soupçonne d’être des francophones qui singent bêtement le pire de ce qui se trame en la matière dans les pays anglophones, souvent par des monolingues qui ignorent la différence entre un concept opératoire dûment étayé et des concepts totalement tirés par les cheveux. Et je parle en connaissance de cause, vu que j’habite en territoire anglophone.
    Pour ceux qui s’intéressent à ces questions, je leur conseille de lire le livre-phare de la linguistique moderne, COURS DE LINGUISTIQUE GÉNÉRALE, du Suisse FERDINAND DE SAUSSURE.
    Présentation de ce dernier (Petit Larousse illustré):
    SAUSSURE (Ferdinand de), linguiste suisse, né à Genève (1857-1913). Après des études à Leipzig, où il soutient une thèse sur L’emploi du génitif absolu en sanskrit (1880), il enseigne la grammaire comparée à Paris, puis à Genève. C’est là que, de 1907 à 1911, il donne un cours de linguistique générale, dont les éléments sont publiés après sa mort d’après des notes d’étudiants (COURS DE LINGUISTIQUE GÉNÉRALE, 1916). Par la définition rigoureuse qu’il donne des concepts de la linguistique (la langue conçue come une structure, l’opposition synchronie-diachronie, etc. Saussure peut être considéré comme le fondateur de la linguistique structurale moderne.

  10. Posté par leone le

    En êtes-vous sûre Anne?
    Si le corps enseignant s’y met dès la plus tendre enfance il y a des chances de succès, non?

  11. Posté par Anne le

    Bof! Laissez-les s’agiter…. Aucun groupe linguistique ne peut influencer les morphèmes grammaticaux. Nous ne pouvons que créer des lexèmes, et encore faut-il qu’ils passent dans l’usage pour y demeurer…. La structure grammaticale d’une langue échappe à toute volonté…
    Laissez donc ces andouilles dans leur délire et passez….

  12. Posté par eole le

    Voilà où mène la décadence occidentale.

  13. Posté par Vautrin le

    Mais quelle importance ? Nous n’avons pas à céder aux délires d’une bande de dégénérés. On ne m’entendra pas dire « la ministre », mais «  »LA » ministre est idiot »; je ne parle jamais « d’écrivaine », bien que nombre de gourdasses produisent des « écrits vains ». Et si quelque harpie s’avisait de me reprendre, elle aurait intérêt à numéroter ses abattis (masculin pluriel). Non mais ! Ces andouilles n’oseraient pas ouvrir leur clapet devant un barbu islamique, alors qu’elles nous fichent la paix.

  14. Posté par sophie le

    d’ici qu’on nous impose à parler stroumpf pour ne heurter personne….

  15. Posté par Sergio le

    À la fin du secondaire, je me suis trompé de toilettes. Quand le prof m’a vu sortir, je me suis empressé de lui dire que je m’appelais Dominique. Il m’a collé quand même.

  16. Posté par Fanfouet le

    @ Hervé: il vous manque encore les deux nouvelles variétés: les I pour intersexe et les Q pour queer, en anglais = bizarre…
    A mon avis on pourrait ramener tout ça à un seul type: les « sans genre » ou « déficients sexuels », et on les prénommerait Claude, Dominique, Camille ou Sacha…

  17. Posté par Claire le

    Entre rire, tellement c’est grotesque, et consternation!
    Je me demande si les djihadistes se posent une question quant à leur genre???

  18. Posté par Christian le

    « On ne nait pas femme on le devient, ou alors on nait homme et on devient femme, ou alors on nait femme et on devient homme, ou même on nait… » Moi, ça me laisse perplexe.. Mais ce dont je suis certain c’est que ceux/celles qui sont con(ne)s ou taré(e)s le restent toute leur vie. Voilà qui est sûr, hélas !

  19. Posté par Hervé le

    Moi, il y a un truc qui me fascine dans leur délire. L pour lesbian, G pour gay, B pour bi, et T pour trans. Ok, pourquoi pas. Par contre, là où ils se perdent complètement dans leur idéologie c’est de dire que le genre est une construction sociale. C’est les mêmes qui ont les deux arguments, mais ils sont pourtant contradictoires. Si le genre est une construction sociale, alors la sexualité l’est également. Si l’attraction vers l’un ou l’autre sexe est inné, alors cela prouve bien l’existence du genre. Et par conséquent le T n’a rien à faire là. Il faut qu’ils se décident entre construction sociale et inné, ils ne peuvent pas avoir tout en même temps.
    Mais c’est probablement le dernier de leurs soucis, les neo-fascistes n’ont envie que de détruire tous les concepts pour transformer l’être humain en un vulgaire vaisseau pour servir leur idéologie délirante.

  20. Posté par Loulou le

    Il y a des établissements et des traitements pour cela.

  21. Posté par Wouly le

    Le monde devient FOU parce que des fous s’imaginent avoir le pouvoir de tout changer. Ho les prétentieux !!

  22. Posté par Etienne le

    C’est un hoax.
    Dans le cas contraire, ça devient une bonne blague.
    Et si c’est pas une bonne blague, c’est un manifestation probante de la folie des cinglés de leur zèzette.

  23. Posté par . Zendog le

    Pas question d’entrer dans cette folie. Le Français est une langue magnifique, difficile certes, mais que je continuerai à écrire et à parler comme je l’ai apprise du temps où ces folies n’existaient pas. Il n’y a pas si longtemps d’ailleurs.

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