Zone de non-droit « Reitschule » : Berne la Rouge a peur du peuple

Zone de non-droit "Reitschule" : Berne la Rouge a peur du peuple.

 

Le parlement cantonal bernois a décidé d'invalider l'initiative visant à supprimer les subsides du canton à la "Reitschule", cette institution "culturelle" de la ville de Berne devenue une zone de non-droit dans laquelle se réfugient les extrémistes de gauche, les casseurs et les trafiquants de drogue, sans qu'ils puissent être appréhendés par la police, qui a l'ordre du gouvernement local de ne pas pénétrer dans ses locaux. Le vote a été remporté grâce à une alliance de tous les partis de gauche, allant des socialistes aux Verts "melons", en passant par les Verts libéraux et le parti de Mme Widmer-Schlumpf. L'affaire va maintenant devoir être traitée par le Tribunal fédéral, car les jeunes UDC, qui avaient lancé cette initiative ayant récolté 17'500 signatures et était considérée comme valable par plusieurs juristes, dont le professeur honoraire de l'Université de Lausanne Etienne Grisel, ont décidé de faire recours contre ce déni de justice.

 

http://www.jsvpbern.ch/?p=1054

 

Traduction (Claude Haenggli) : La jeune UDC est indignée par le fait que l'appréciation de la validité d'une initiative populaire soit soumise à des considérations avant tout politiques, qui n'ont rien à faire dans ce cas. Une majorité de politiciens du centre et de la gauche soutiennent la "Reitschule", ainsi que la tolérance infinie de la ville pour cette zone de non-droit, en ignorant les dangers de son utilisation actuelle, qui se traduisent par des excès de violence, du vandalisme et des policiers blessés. Les députés au Grand Conseil ont voulu par conséquent étouffer tout débat dans l'oeuf, La décision du parlement cantonal, bien que d'extrême justesse, signifie une journée noire pour les droits populaires et ébranlera une fois de plus la confiance des citoyens dans la politique. La jeune UDC du canton de Berne n'est pas prête à accepter cet acte arbitraire. Elle recourra auprès du Tribunal fédéral contre la décision du Grand Conseil bernois.

 

Lien avec l'avis de droit du professeur Grisel (en français) :

 

http://www.jsvpbern.ch/wp-content/uploads/zweitgutachten-grisel-fr.pdf

 

Claude Haenggli, 22 mars 2017

9 commentaires

  1. Posté par Luc le

    Il faudrait raser cette vieille ruine décrépie qu’est devenu le bâtiment de la Reiteschule, ainsi le problème serait réglé une fois pour toutes!

  2. Posté par Gaston Siebesiech le

    Certains départements de nos universités sont des usines marxistes. Il suffit de lire et d’écouter nos médias formés de « journalistes » formatés, par tout le même fil rouge, la même terminologie, les mêmes thèmes, la même désinformation des « news rooms ». Et on s’étonne de la disparitions des canards à 90% gauchistes appartenants aux nouveaux prolétaires milliardaires des groupes Tamedia et Ringier.
    Les journalistes crachent sur tous ce qui n’est pas de gauche mais travail pour des milliardaires!!! C’ est somme cette journaliste frouse qui déteste et haït la Suisse ou elle s’est installée, qu’elle retourne dans son beau pays.

  3. Posté par Gipassier le

    à Andrea: « ça doit bien se finir par « deux claques et au lit » ».
    C’est malheureusement peu probable, l’ASIN se couchant devant des menaces de contre manifestation et l’UDC s’en félicitant, l’entier de la classe politique (hormis à ma connaissance Ignaz Bearth et, à un moindre degré, Stéphane Montabert et Roger Koeppel) se complaisant dans le politiquement correct le plus détestable et la violence étant rejetée absolument par tous les non-gauchistes, il est à craindre que la droite continue à s’accrocher aux principes que la gauche lui impose sans jamais les respecter elle-même.
    Car s’il est évident que la force physique est de notre côté, l’envie de se battre pour ses idées ne l’est manifestement pas.

  4. Posté par Jacques le

    Deux solutions, à choix: foutez le feu à cette horreur ou transformez la en centre pour requérants d’asile, entouré de barbekés et sous bonne garde.

  5. Posté par Ralebol le

    La dictature gauchiste dans toute sa splendeur.

  6. Posté par Andrea le

    Mettez ça en parallèle au tapage qui à été fait autour de deux ou trois concerts de prétendus « néo-nazi », qui ne reçoivent aucune subvention, eux.
    A un certain moment ces gauchos, média en tête, ça doit bien se finir par « deux claques et au lit ».

  7. Posté par TulliaCiceronis le

    @Christian Hofer – En effet. Merci à lui. Le lien Romandie-Alémanie (je n’oublie pas nos compatriotes tessinois et grisons) me semble en effet essentiel au développement d’une perception plus fine et étendue de ce qui fait la spécificité de notre pays, et sa richesse. C’est que, quelle que soit la beauté de nos clochers, leur horizon est, par définition, limité.

  8. Posté par Sergio le

    Officiellement les seuls subsides versés par la ville de Berne atteignent Fr. 500’000.00 par an. Vu l’opacité de ce genre d’opération et connaissant la proverbiale scélératesse de la gauche, ce chiffre doit être pris avec des pincettes. La Mairie de Berne est sous la houlette socialiste depuis 1958, cette année c’est le vert (rouge dedans), Alec von Graffenried qui a été élu. Les gauchistes se sont senti pousser des ailes. Il est dès lors totalement exclu de brimer leurs plus fidèles alliés.

  9. Posté par Christian Hofer le

    Bien entendu, absolument rien dans nos médias romands. Sans Monsieur Haenggli, personne n’en saurait rien ici…

    Mais plus encore, cela prouve qu’il n’y a pas de différence entre la gauche et l’extrême gauche. L’une sert de vitrine tout en couvrant politiquement ses adhérents extrémistes.

    Celui qui vote pour les socialistes est un extrémiste et un ennemi de notre pays. Il faut le marteler.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.