Universités suisses: Lorsque les juristes et avocats apprennent à détester les initiatives UDC jugées « populistes »

"Cours de droit constitutionnel, 1ère année de droit...
Voilà comment on bourre le crâne aux "bataillons" de juristes et avocats qui sortent de nos uni !"

Nos remerciements à Damien Raboud,

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Christian Hofer: On retrouve le vocabulaire d'extrême gauche, accusant en filigrane l'UDC sans nommer le parti. Vous noterez toute l'hypocrisie de la méthode alors que ce même support ne se prive pas pour formater comme il le désire des centaines de futurs juristes sous couvert "d'éducation".

Bien évidemment, ce livre n'évoque en aucun cas la présence de certaines ethnies qui sont responsables d'une violence que l'on n'avait jamais vue auparavant. Ne pas vouloir de ces délinquants est considéré comme xénophobes alors que ces criminels se moquent bien des conséquences pour la population autochtone. Tout ne doit être vu que sous l'angle victimaire et xénophile. Il est vrai qu'il est commode de parler de "bas instincts" lorsqu'on habite les beaux quartiers et qu'on ne côtoie pas le multiculturalisme que l'on impose aux autres.

Dans ce cadre, au nom du "combat contre le populisme", cette élite peut imposer sa vision bien-pensante et culpabilisatrice. Tout ce qui pourrait être positif pour la population devient magiquement mauvais. C'est ainsi que l'on se retrouve aujourd'hui avec une Suisse multiculturelle où la gauche a pu importer les problèmes d'un dogme étranger à notre pays, dont les conséquences se traduisent par des lois intrusives et restrictives.

Enfin, ce livre oublie que ce n'est ni le Conseil fédéral ni l'Assemblée fédérale qui doit décider dans ce pays mais le peuple souverain. Si celui-ci vote en faveur de certaines mesures, il le fait sur la base de son vécu, des difficultés qu'il rencontre. Si un manque de loyauté existe, c'est celui du Conseil fédéral et de cette assemblée qui trahissent la volonté du peuple comme on peut le constater aujourd'hui avec l'application de la volonté populaire contre l'immigration de masse.

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"L'initiative populaire et le référendum peuvent aussi conduire à un certain populisme par le biais d'initiatives populaires ou de demandes de référendum flattant les bas instincts de la population. La Suisse en a fait l'expérience avec le lancement d'initiatives ou de procédures référendaires à la population étrangère.

Ces instruments peuvent, enfin, conduire à certains partis politiques à une forme de double jeu.

Ainsi, en Suisse, les partis représentés au gouvernement - les "partis gouvernementaux" - lancent parfois des initiatives populaires ou des procédures référendaires allant à l'encontre de la volonté du Conseil fédéral et de l'Assemblée fédérale. On (qui?) leur reproche parfois, dans ce contexte, un manque de loyauté."

 

10 commentaires

  1. Posté par Maurice le

    La tentation du centralisme : on centralise tout pour tout diriger, ensuite on déclare que le peuple est incapable de décider pour lui-même parce qu’il est illettré. Serait-il devenu illettré après avoir passé dans les écoles gauchistes centralisantes ?
    Oui, le peuple est souverain en Suisse, et le Conseil fédéral est là pour mettre en place les décisions du peuple doublement représenté par l’Assemblée fédérale.

  2. Posté par RealrecognizeReal le

    Un prof est souvent un dictateur en puissance et a les pleins pouvoirs. Si un élève émet une opinion différente de la sienne et bien il va lui infliger une note médiocre, puis l’avoir sans cesse dans son collimateur. De plus, certains étudiants gobent absolument tout sans se poser de questions. Ils sont persuadés de penser juste lorsqu’ils caressent dans le sens du poil leur professeur, qui leur rend de bonnes notes.
    @Damien Raboud
    Il existe une application pour smartphone (Camscanner) qui après avoir pris la photo : met à plat, augmente la luminosité,… ce qui rend la lecture bien plus agréable 😉

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    Si vous pensez et agissez toujours juste et avec la vitesse de l’éclair, vous pouvez apprendre médecin urgentiste, informaticien, policier, et des tas d’autres métiers honnêtes.
    Mais si vous pensez et agissez à la vitesse de l’escargot, vous aurez tout avantage à apprendre juriste: personne ne vous critiquera sur vos décisions fausses après des années de procédures et de réflexions douteuses!
    Si nos journalistes pensaient à la même vitesse que les juristes, on aurait dans nos médias les nouvelles d’il y a 10 ans!
    Imaginez un juriste donnant les premiers secours à un blessé, en pesant le pour et le contre…

  4. Posté par observateur le

    Je prends conscience des dégâts causés par nos élites de gauche dans l’enseignement et la formation des élèves. Après la guerre, le fascisme et le nazisme ont marqué durablement les esprits. La peur que la barbarie reviennent fait qu’on a été précautionneux , prévenants, etc…et on en a fait une idéologie humaniste, égalitariste, droit de l’hommiste .
    On réalise qu’on s’est aveuglé, culpabilisé en s’interdisant de regarder le réel, de stigmatiser les minorités visibles, d’éviter toute critique de l’Islam et de considérer que toutes les cultures se valent, que tous les immigrants sont des victimes qu’il faut protéger etc…
    Nous arrivons au bout car la réalité nous explose à la figure…terrorisme islamique, Djihadisme, criminalité, colonisation rampante de nos villes , remplacement en cours des populations Européennes par des immigrants économiques arabo-africano-musulmans et d’autres qui prennent le dessus avec une natalité triple de celle des Européens de souche…
    c’est notre péril…que nous avons construit , financé, importé…

  5. Posté par Théodore J Berseth le

    ….oublié la fin.
    Quand aux élèves, s’ils ne vont pas dans la « pensée de l’enseignement », ils se voient affubler du bonnet de « cancre », hors sujet, donc à éradiquer pour pensée non conforme -selon les thermes d’un certains Carlos Sommaruga (Cons nat. PS)-

  6. Posté par Théodore J Berseth le

    STOP AUX PROF ENGAGES !
    les « associations pédagogiques » ne doivent plus être prises en considération. L’ECOLE N’A PAS BESOIN DE FORMATEURS DE LA PENSEE UNIQUE, MAIS D’ENSEIGNANTS ENGAGES SUR LEUR METIER QUI EST D’ENSEIGNER !
    Les meilleurs résultats romands sont en Valais…partout où l’on à affaire à des profs « engagés » (selon l’étymologie marxiste), les résultats des élèves sont nuls….d’ailleurs ne dit-on pas qu’un peuple instruit n’est pas bon pour ses dirigeants ?

  7. Posté par Anne Lauwaert le

    et puis tout d’un coup on se rend compte d’être coupé de la réalité quand le peuple vote diametralement opposé… mais si les enseignants sont de gauche leur enseignement ne peut pas être de droite… mais le peuple qui vit avec les pieds sur terre (je n’ose pas écrire dans la merde) lui, le peuple il finit par appeler un chat un chat… surprise… en France, a va être la foire quand il va falloir réhabiliter tous ceux qui ont été injustement condamnés…

  8. Posté par Sergio le

    L’enseignement est aux mains de la gauche ce qui signifie la pratique courante du terrorisme intellectuel à tous les niveaux.

  9. Posté par Le Taz le

    Les opinions politiques et les jugements de valeurs n’ont rien à faire dans nos écoles, collèges et universités. Les professeurs n’ont pas à donner leurs opinions. Il va falloir faire quelque chose contre cet état de fait, les professeurs doivent donner des informations factuelles et rien d’autre !

    Il en va de même pour nos médias nationaux, les journalistes des médias étatiques n’ont pas à porter de jugement, ils doivent simplement donner des informations factuelles sans apporter d’analyses et d’interprétations, ce qui est très loin d’être le cas. Il faut absolument reformer tout ceci. Il n’y a pas de démocratie sans un système d’information factuel !

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